en ce moment je lis

Danielle Rosa a écrit:J'ai fini : La désoeuvre de Karine Henry.

"Sa sœur Barbara. qu'elle n'a plus revue depuis son internement, lui a légué sa maison d'Artel. Aussitôt Marie décide de la mettre en vente après l'avoir vidée de ses meubles. La voici donc de retour dans cet endroit isolé et menaçant - et peu à peu captive de douloureux souvenirs. Sa jeunesse a été dévastée par un accident mais aussi, de longue date, par la folie de Barbara, personnalité terrifiante et imprévisible. Dans la maison à l'abandon, la présence de Barbara se manifeste encore. Marie retrouve ses carnets, somptueux sismogramme d'une jeune femme torturée par le mépris des contingences, acharnée à faire rempart, dans le huis clos de l'écriture, aux lois inexorables du temps et de la mort auxquelles, de toutes ses forces, elle veut opposer l'œuvre. L'une voulait écrire, l'autre simplement vivre. Presque malgré elle, Marie recompose l'histoire familiale, fait ressurgir les figures contrastées de leurs parents et tente de déchiffrer, jusque dans les cicatrices de l'enfance, des raisons de comprendre et d'aimer Barbara en dépit de tout. Roman d'une folie dévastatrice et pourtant créatrice, La Désoeuvre entremêle ces deux voix distinctes et cependant complémentaires, pour faire entendre la beauté de la fiction qui les unit."



Que ce livre étrange m'a entraîné dans ses délires, les récits entremêlés et si différents des 2 soeurs, la folie barbare de l'une et le besoin d'amour de l'autre...Un récit déconstruit qu'on reconstruit...jusqu'à la chute qui me hante des dernières pages.



J'ai attaqué "La bête qui meurt" de Philip Roth, il m'enchante...Des passages entiers à copier.

j'ai voulu le lire ( la désoeuvre) et je n'ai pas pu rentrer dedans

il faut dire que je l'avais emprunter à la biblio, je leur avais même demandé de l'acheter comme il faut rendre les livres sous 3 semaines j'ai pas pris le temps de m'y accrocher

Diane a écrit:

J'ai terminé "Un abri en ce monde"
Mary McGarry Morris.
Pocket

J'ai quelque part dans ma bibliothèque son premier livre "Disparue" que j'avais beaucoup aimé

Sinon, je voudrais faire partie du club : Auster-Irving-Roth (Philippe, encore que j'aime aussi beaucoup Henry et Joseph ). Je suis aussi plutôt fan de Joyce Carol OATES et des dames du sud : Flannery O'Connor et Carson McCullers.

j'aime beaucoup flannery et carson

cherubin a écrit:j'aime beaucoup flannery et carson

coupine
Un livre que j'avais beaucoup aimé même si la quatrième ne lui rend pas complètement justice :

Retour à Cayro de Dorothy Allison (Belfond 12/1998)
Delia Byrd a fuit un mari violent et dangereux pour suivre Randall Pritchard et son groupe de rock abandonnant du même coup ses deux petites filles.
Dix ans ont passé, mais ni le succès, ni les frissons de la scène, ni la naissance de Cissy, sa troisième fille, n'ont réussi à guérir ses blessures ou apaiser sa culpabilité. L'alcool l'a presque détruite et l'amour l'a déçue une seconde fois.
Quand Randall meurt, Delia décide de quitter la Californie et de rentrer chez elle, en Géorgie. Sa vieille voiture chargée de tout ce qu'elle possède, une Cissy murée dans un silence hostile à l'arrière, elle traverse d'une traite le pays, persuadée que son salut passe par un retour à Cayro, sa ville natale.
Récupérer ses filles deviendra son obsession, plus forte que la haine que lui voue Cissy, que la rancœur de Dede et Amanda, que la dureté des habitants de Cayro, des gens du Sud, austères et pétris de religion, déterminés à lui faire payer sa rédemption au prix fort.

Joyce Carol OATES et des dames du sud : Flannery O'Conno

Rien lu de ces auteures.

Le club : Auster-Irving-Roth

Danielle, je suis sûre que tu connais "Reflet dans un oeil d'or" de Carson McCullers, du moins le film ou aussi un autre beau film "Le coeur est un chasseur solitaire".

Dans la Pochotèque du livre de poche, il y a un volume qui reprend la quasi totalité de ses oeuvres.
Je ne comprends pas pourquoi ça souligne

j'ai fini les Bienveillantes enfin

et aussi les yeux jaunes des crocodiles qui est quand même limite mièvre

je viens de commencer l'Homme du lac de Arnaldur INDRIDASON, le maître du polar islandais, j'avais beaucoup aimé La femme en vert

fan d'Auster aussi , quelle classe il a

Paloma a écrit:j'ai fini les Bienveillantes enfin

et aussi les yeux jaunes des crocodiles qui est quand même limite mièvre

je viens de commencer l'Homme du lac de Arnaldur INDRIDASON, le maître du polar islandais, j'avais beaucoup aimé La femme en vert

fan d'Auster aussi , quelle classe il a

j'adore Arnaldur

et dorothy allison aussi, l'histoire de bone

Majodo j'adore Oates moi aussi.

Dorothy Allison est mon idole. Je l'ai tellement aimée et dommage qu'on ne trouve que si peu de livres.
L'histoire de Bone est autobiographique.
Ses parutions mais on n'en trouve que deux sur le marché malheureusement (je parle de ceux qui sont traduits en français)
Œuvres
1983 : The Women Who Hate Me: Poems by Dorothy Allison ;
1988 : Trash: Short Stories
1991 : The Women Who Hate Me: Poetry 1980-1990
1992 : Bastard Out of Carolina ; trad. L'Histoire de Bone, 10/18, 1998.
1994 : Skin: Talking About Sex, Class And Literature ; trad. Peau, éditions Balland, 1999.
1995 : Two or Three Things I Know for Sure
1998 : Cavedweller ; trad. Retour à Cayro, éditions Belfond, 1998 ; 10/18, 2000.
She Who (à paraître)

En ce moment je lis "Chagrin d'école" de Daniel Pennac et cela me touche beaucoup beaucoup.
Il parle des cancres, et comme j'étais souvent une "cancresse" rescapée par trois enseignants qui ont cru en moi mais en moi dans une autre voie, avec d'autres règlements et d'autres efforts, en préservant mon goût pour la rébellion d'ailleurs. Alors je souligne aux deux phrases.
Cela me touche beaucoup et me fait entrer dans ma bulle.
Et comme Pennac je suis devenue enseignante a mon tour. Comme lui je comprenais les cancres et leurs humiliations pour les avoir vécues. Et je comprenais encore davantage les rebelles.

Résumé du livre

'Chagrin d'école', dans la lignée de 'Comme un roman', aborde la question de l'école du point de vue de l'élève, et en l'occurrence du mauvais élève. Daniel Pennac, ancien cancre lui-même, étudie cette figure du folklore populaire en lui donnant ses lettres de noblesse, en lui restituant aussi son poids d'angoisse et de douleur. Le livre mêle les souvenirs autobiographiques et les réflexions sur la pédagogie, sur les dysfonctionnements de l'institution scolaire, sur le rôle des parents et de la famille, sur le jeunisme dévastateur, sur le rôle de la télévision et des modes de communication modernes, sur la soif de savoir et d'apprendre qui, contrairement aux idées reçues, anime les jeunes d'aujourd' hui comme ceux d'hier.

_______________________________________________________

Comme d'habitude, il devient vaniteux, répétitif. A partir de la moitié environ du livre je commence a bailler. Je le trouve vraiment fendant mais c'est un bon écrivain, sauf que la deuxième moitié du livre on sent justement la vanité du monsieur. Il m'ennuie là. Mais j'avoue qu'il doit être tellement excellent comme enseignant.

Je suis très heureuse que d'autres que moi aiment JC Oates, je trouve que son oeuvre est extraordinaire parce qu'entre "Les mystéres de Winthertur, Marya, Zombi, Blonde, Les chutes.etc..l'écriture change, l'inspiration et tout ce qui fait un roman divergent, rien n'est pareil, c'est assez vertigineux..C'est pour moi un très grand écrivain

"Reflet dans un oeil d'or" de Carson McCullers, du moins le film

Tu me parles d'un temps...j'avais beaucoup aimé ce film. Marlon Brando .

J'ai aussi beaucoup aimé L'effrontée.

Joyce Oates ! Qu'est ce qu'elle en a écrit !!! Et je n'ai rien lu. Je regarderai à la bibli, la prochaine fois.

Alors Palo, Les bienveillantes ?

Hier soir, il y avait Philip Roth à la grande librairie (sur la 5). Je n'ai pas pu le voir à cause de l'orage, mais je signale aux amatrices que ça repasse dimanche à 9 heures.

J'ai commencé : Chi Li (romancière chinoise : "Un homme bien sous tous rapports", j'aime bien les récits sur la Chine.

"L'homme est régi par son cerveau, la femme par son utérus."

Et quand on n'en a plus ?

j'ai lu Peau aussi de dorothy allisson Diane j'aime beaucoup cette auteure.
je n'ai jamais lu joyce carol oates non plus, comme danouille

Je commence par vous mettre une photo d'elle, parce qu'avant de tripper sur l'auteur j'ai trippé sur sa tête si si racée. Je me disais qu'avec une tête si spéciale on doit avoir la création au bout des doigts.

Elle écrit des livres reposants a lire parce que même si parfois ça nous fait réfléchir a la superficialité c'est quand même une lecture reposante et pas du tout conne.
Je met les titres que j'ai lu en en oubliant quelques uns mais ici vous avez la liste complète: http://fr.wikipedia.org/wiki/Joyce_Carol_Oates

Ses livres:
Confessions d'une gang de filles que j'avais adoré. Résumé: Un quartier populaire d'une petite ville ouvrière de l'Etat de New York, dans les années 1950. Cinq lycéennes, pour survivre et se venger de toutes les humiliations qu'elles ont subies, concluent un pacte à la vie, à la mort : elles seront le gang Foxfire. Foxfire désigne en effet les jolies filles, mais également le feu follet. La haine, et surtout celle des hommes, va les entraîner dans une impitoyable équipée sauvage. Après un séjour en maison de correction, Legs, leur chef adulée, revient avec un rêve : pouvoir habiter, toutes ensemble, dans une ferme, et vivre selon leurs propres lois. Mais leur sulfureuse réputation leur créera plus d'un ennemi. Vols de voitures, menaces à main armée, entôlage et, pour finir, kidnapping... Tout cela finira très mal.

Blonde, que j'ai moins aimé:Résumé Des cheveux blonds, de grands yeux bleus, une petite bouche colorée, un corps sublime... un mythe est né ! Mais qui est vraiment Norma Jeane Baker, alias Marilyn Monroe ? Tour à tour actrice de talent et jeune femme apeurée, femme fatale et femme-enfant, Norma Jeane et Marilyn... elle est insaisissable et mystérieuse. A travers ce roman qui mêle fiction et réalité sans qu'on puisse les distinguer, Joyce Carol Oates revient sur la vie d'une femme adorée de tous, sur son enfance particulière, son désir de plaire, ses rôles dans les films et hors caméras, ses faiblesses, ses joies, sa fragilité, son endurance... De ces ambivalences s'est formée une personnalité hors du commun, celle d'un 'ange' comme disait Marlon Brando, d'un ange en perpétuel danger dont le bourreau principal est lui-même...

Cette saveur amère de l'amour (qu'il me souvient d'avoir aimé mais il y a longtemps.)
Hammond, petite ville au nord de l'Etat de New York, dans l'Amérique des années cinquante. Entre blancs et noirs, la barrière est infranchissable, même dans les quartiers les plus pauvres, même si les enfants se côtoient à l'école et si une attirance existe entre adolescents des deux races. Une situation qui bascule le jour où, pour sauver Iris la blonde, agressée par un minable "petit blanc", Jinx le noir devient un meurtrier.
Un lien tragique va dès lors unir les jeunes gens, seule sanction de cet acte qui n'a pas eu de témoin. Les années s'écoulent. Iris survit au divorce de ses parents, à la dérive de sa mère. Elle change de ville et de milieu. Jinx, à la suite d'un accident, renonce au basket, sa passion, et aux études. Il choisit de devenir "un crétin de négro ignorant". Enfermés chacun dans un rôle mensonger, il leur reste la certitude que "personne n'est aussi proche de nous que nous le sommes l'un de l'autre".
Une fois encore, la puissance d'écriture, l'ironie et l'acuité du regard de J.C. Oates forcent l'admiration. Celle que les Américains tiennent pour leur meilleur peintre de la réalité contemporaine donne ici l'un de ses plus grands romans.

Nous étions les Mulvaney que j'ai beaucoup aimé. Résumé:La Saint-Valentin 1976 qui s'annonçait une douce soirée pour Marianne, sonnera le glas de leur vie familiale idyllique, à cause du drame dont elle sera la victime. La réussite de la famille semble avoir fait des envieux, et peu de personnes semblent leur prouver leur compassion ou leur être d'un appui quelconque. C'est donc une chute sociale, puis morale qui va ébranler le clan des Mulvaney. On va suivre cette famille brisée, puis éclatée, sur une trentaine d'années.
Un irrémédiable gâchis, c'est ce qui me vient à l'esprit en voyant comment cette famille idéale est incapable de faire face au drame. Les liens qui auraient dû les souder encore plus, vont lentement se détendre...
Joyce Carol Oates a le talent pour créer des personnages vivants, auxquels je me suis attachée immédiatement. J'ai vraiment eu de la peine en suivant leurs errances, impuissante à les voir se détacher les uns des autres, alors que le décor planté était au départ si idyllique.
C'est vraiment un coup de massue, la manière dont ils gèrent la culpabilité suite à ce drame, mais j'ai eu de la compassion pour chacun, dans leurs différentes manières de se comporter face à à la situation. L'auteur sait revêtir ses personnages d'une dimension psychologique très travaillée, comme les différentes pièces du puzzle compliqué qu'est la nature humaine.

Hudson River (que j'ai aimé beaucoup aussi) Résumé
A Salthill-sur-Hudson, on roule en limousine et on cultive les orchidées. On est beau, on est riche et on vit hors du temps dans un enclos idyllique. Personne ne pouvait imaginer que la mort accidentelle d'Adam Berendt, le sculpteur aimé de la commune, allait faire basculer ce petit coin de paradis dans l'enfer. Sa disparition délie les langues et déchaîne les passions. Berendt était-il aussi inoffensif et retiré qu'il en avait l'air ? Un manège de personnages et de destins se met à tourner à folle allure, la comédie humaine est lancée ?

Diane j'aime aussi beaucoup Margaret Atwood et aussi Toni Morrison et aussi je veux faire partie du club: "Doris Lessing"

En fait je suis très littérature anglo-saxonne...Que penses-tu d'Elizabeth Taylor, d'Allison Lurie...?

Un bouquin vraiment spécial de Joyce Carol Oates : Zombi le livre à l'esperluette
" Il est un cas pour le psychiatre-expert auprès des tribunaux...
Il est le plus exquis et le plus attentif des garçons pour sa riche grand'mère
Il est le plus vrai et le plus aboniblement terrifiant des tueurs psychopathes....etc Mais si fort.

j'aime beaucoup aussi allison lurie (tous lus) et margaret atwood aussi
bon ok je réponds à la place de diane

Trois fois que je réponds
Chérubin, j'aime qu'on échange et qu'on se conseille mais c'est une tâche quasi-infinie...Il y a tellement de talents, tellement d'histoires
Pour JC Oates, essaie "Zombi", et puis "Marya" tu verras, j'espère, que c'est un écrivain point/barre. Elle invente à chaque fois un autre univers

Cherub tu réponds mais pas a ma place et j'aime bien échanger sur nos livres, il semble que ns ayons des goûts communs nous trois.

majodo a écrit:Diane j'aime aussi beaucoup Margaret Atwood et aussi Toni Morrison et aussi je veux faire partie du club: "Doris Lessing"

En fait je suis très littérature anglo-saxonne...Que penses-tu d'Elizabeth Taylor, d'Allison Lurie...?

Un bouquin vraiment spécial de Joyce Carol Oates : Zombi le livre à l'esperluette
" Il est un cas pour le psychiatre-expert auprès des tribunaux...
Il est le plus exquis et le plus attentif des garçons pour sa riche grand'mère
Il est le plus vrai et le plus aboniblement terrifiant des tueurs psychopathes....etc Mais si fort.

Ah Toni Morrison j'aime bien aussi. Je l'admire beaucoup cette femme solide. J'ai lu Song of Solomon et Beloved
Elle a dû se battre pour être reconnue en temps que femme, et femme noire aux USA.

Allison Lurie j'accroche moins encore que la lire est très très plaisant. J'ai lu d'elle: "La vérité sur Lorin Jones" "Un été a Key West" et "Des gens comme les autres"

Je n'ai pas lu Zombi je me le trouverai un moment donné parce que ce que tu en dis m'interpelle.
Et j'ai lu Doris Lessing presque au complet a partir du premier. J'ai gardé ses livres a elle. Je l'aime toujours.

Élizabeth Taylor je ne me souviens pas l'avoir lue, je vais chercher sur google pour voir de quoi il retourne. Je suis curieuse.

Et voilà elle m'attire beaucoup après quelques résumés de ses romans. A mettre dans ma liste.
Écrivain de la déception et de cette tyrannie du moi qui nous fait désirer être un autre, Elizabeth Taylor (1912-1975) est reconnue comme l’une des grandes romancières anglaises du XXe siècle. Son oeuvre comprend onze romans et cinq recueil de nouvelles.


Chérub tu as lu du Élizabeth Taylor toi???

majodo a écrit:Trois fois que je réponds
Chérubin, j'aime qu'on échange et qu'on se conseille mais c'est une tâche quasi-infinie...Il y a tellement de talents, tellement d'histoires
Pour JC Oates, essaie "Zombi", et puis "Marya" tu verras, j'espère, que c'est un écrivain point/barre. Elle invente à chaque fois un autre univers

tu me crie majodo tu trouves que j'interviens à tort et à travers??

tu me crie majodo tu trouves que j'interviens à tort et à travers??
Jamais de la vie...Je râlais parce que 3 fois mon message a disparu

Je suis très heureuse d'échanger avec toi et toutes...

club: "Doris Lessing"

J'en fais partie, j'ai pratiquement tout lu, mais j'ai été déçue par le dernier (?) : "Un enfant de l'amour".

Merci Diane pour tes résumés, certains me tentent.

Moi je l'ai trouvé doux a lire, mais elle a 80 ans passés notre Lessing tu sais...

Chérub, reviens,
Chéérub reviens, Chérub reviens parmi les tiens...

Je me suis mal exprimée, je ne voulais pas te blesser, ce n'est pas ma façon d'être...
J'adore échanger avec toi, Danielle, Diane et toutes celles qui voudront faire ce petit bout de chemin sur les sentiers, les rivages, les ravines et tous les paysages de l'écriture.
J'ai l'impression de connaître presque toutes les capitales du monde, d'avoir rencontré des dizaines d'éthnies, d'avoir senti et mangé certains mets exotiques seulement parce que je sais et j'aime lire.
Merci à mes maitresses, à mes profs de français, à ma mère qui m'achetait des livres à Prisu.
C'est si bon et beau un livre

ben heu, oui alors d'accord, mais rassure toi majodo je n'étais pas blessée, je comprenais plus rin

je finis la femme de l'allemeand et j'attaque le dernioer martin winckler, le choeur des femmes

"Le Dr Jean Atwood, chirurgien, doit finir son internat dans le service du Dr Franz Kama, spécialisé en « médecine de femmes ». Très brillant, il pense gaspiller son temps à écouter des histoires de bonnes femmes pendant 6 mois.
Le roman alterne les voix des 2 médecins et celles des patientes sous forme de dialogue, pensées intérieures, chansons aphorismes. On est dans le même univers que « La maladie de Sachs », avec la même force de conviction. Comme à chaque fois, Winckler nous embarque par son engagement et son habileté narrative."

j'aime beaucoup martin winckler, il a son propre site internet
il est dans l'empathie avec les femmes comme rarement un médecin l'est, et avec les patients en général
c'est un humaniste